(1) : glacier polythermique : en altitude la glace est collée au substratum (T° < 0°C), pas d’érosion des trimlines, Des cisaillements se mettent en place entre la glace mobile du glacier principal (Bennett, 2003) et la glace collée au substrat. Le flux de froid qui refroidit la masse du glacier (flèches blanches) dépend de la température de l’air et surtout de l'accumulation de la neige en surface. Le flux géothermique s’y oppose (flèches rouges) ; la glace devient tempérée à la base et la fusion apparaît. (2) : évolution en glacier tempéré en fin de période froide avec contact érosif glace/roche, genèse et/ou reprise des trimlines héritées du précédent épisode glaciaire.
(1) : glacier polythermique : en altitude la glace est collée au substratum (T° < 0°C), pas d’érosion des trimlines, Des cisaillements se mettent en place entre la glace mobile du glacier principal (Bennett, 2003) et la glace collée au substrat. Le flux de froid qui refroidit la masse du glacier (flèches blanches) dépend de la température de l’air et surtout de l'accumulation de la neige en surface. Le flux géothermique s’y oppose (flèches rouges) ; la glace devient tempérée à la base et la fusion apparaît. (2) : évolution en glacier tempéré en fin de période froide avec contact érosif glace/roche, genèse et/ou reprise des trimlines héritées du précédent épisode glaciaire. 11 Interprétation paléogéographique de la région du MB et du bassin de la Mer de Glace au LGM (équidistance des courbes de niveau 100 m). Interprétation des flux glaciaires. 12 et 12 b Reconstitution du bassin de la Mer de Glace.. A gauche : en 1997 ; à droite : au dernier maximum glaciaire.